Chacok





" Mes robes sont conçues de telle façon que ce sont les femmes que l’on remarque d’abord ».






Fondée en 1971 à l'instigation de la styliste Arlette Decock (appelée le « chat » par ses amis à cause de ses yeux verts, d'où le nom de la société), la maison de prêt-à-porter s'est développée fortement durant les deux décennies qui ont suivies, grâce à son style axé sur la couleur et le dessin, (ca je l'ai pompée sur internet et maintenant à moi) j'ai toujours aimée le style Chacok, à l'apogée de sa gloire dans les années 78-80, il reste pour moi, le style par excellence de mon adolescence, un style intemporel et surtout un rêve inaccessible. L'une des seules maisons de couture (prêt à porter de luxe) à être dans le midi, à Biot exactement, et à avoir osé y rester. Arlette Decock était (elle est décédée en 1997) était une femme du Nord, l'influence métissée de ses vêtements, lui vient de ses origines, et du Sud. J'ai toujours rêvé devant les vitrines au style slave, colorées au possible, pantalon large, manteau kimono, jupon long et baby de cuir noir. Peut être le début de ma passion pour les arts textiles, velours et soie rebrodés de rubans bariolés. Tenues éclatantes de féminité et de folklore. Après une mauvaise passe dans les années 2000, la maison de couture relève le défi, un parfum, uniquement vendu dans les boutiques de la marque, et plusieurs collections depuis 2004, dont celle de l'hiver 2007, inspirée par les ballets russes.... bon j'ai assez parlé, tout ça parce qu'en bouquinant une vieille revue, je suis tombée par hasard sur un pub Chacok et que j'ai toujours rêvé devant ces boutiques, la collection hiver 2008 est en ligne sur chacok.com

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